Objectif : je m’exerce à la rédaction

Sujet de rédaction

Extrait d’histoire de ma vie de george sand (1854)

Dans le chapitre XI de Histoire de ma vie, George Sand évoque les premières années de son enfance. En compagnie de sa mère, elle se rendait fréquemment chez un oncle et une tante qui habitaient à Chaillot, qui était alors un village près de Paris. Elle y retrouvait Clotilde, une cousine de son âge.

     Je ne crois pas avoir revu cette maison de Chaillot depuis 1808, car, après le voyage d’Espagne, je n’ai plus quitté Nohant (1) jusqu’après l’époque où mon oncle vendit à l’Etat sa petite propriété, qui se trouvait sur l’emplacement destiné au palais du roi de Rome (2). Que je me trompe ou non, je placerai ici ce que j’ai à dire de cette maison, qui était alors une véritable maison de campagne, Chaillot n’étant point bâti comme il l’est aujourd’hui.

     C’était l’habitation la plus modeste du monde, je le comprends aujourd’hui que les objets restés dans ma mémoire m’apparaissent avec leur valeur véritable. Mais à l’âge que j’avais alors c’était un paradis. Je pourrais dessiner le plan du local et celui du jardin tant ils me sont restés présents. 

     Le jardin était un carré long, fort petit en réalité, mais qui me semblait immense, quoique j’en fisse le tour deux cents fois par jour. Il était régulièrement dessiné à la mode d’autrefois ; il y avait des fleurs et des légumes ; pas la moindre vue car il était tout entouré de murs ; mais il y avait au fond une terrasse sablée à laquelle on montait par des marches en pierre, avec un grand vase de terre cuite classiquement bête de chaque côté, et c’était sur cette terrasse, lieu idéal pour moi, que se passaient nos grands jeux de bataille, de fuite et de poursuite.

     C’est là aussi que j’ai vu des papillons pour la première fois et de grandes fleurs de tournesol qui me paraissaient avoir cent pieds de haut. Un jour, nous fûmes interrompues dans nos jeux par une grande rumeur au-dehors. On criait Vive l’empereur (3), on marchait à pas précipités, on s’éloignait et les cris continuaient toujours. L’empereur passait en effet à quelque distance et nous entendions le trot des chevaux et l’émotion de la foule. Nous ne pouvions pas voir à travers le mur, mais ce fut bien beau dans mon imagination, je m’en souviens, et nous criâmes de toutes nos forces : Vive l’empereur ! transportées d’un enthousiasme sympathique.

                         
(1) Village du Berry où George Sand a passé son enfance et une partie importante de sa vie
(2) Le fils de l’empereur Napoléon Ier
(3) L’empereur Napoléon Ier

Consignes

Vous racontez à votre tour un épisode de votre vie. Vous évoquez un lieu que vous avez connu lorsque vous étiez très jeune et expliquez pourquoi vous en conservez des souvenirs heureux.

POUR VOUS AIDER :
Introduction :Vous deviez situer l’époque, votre âge approximatif, apporter des précisions sur le contexte ( vacances, souvenir familial, particularité du lieu qui vous a tant marqué…)

1) Vous devez décrire le lieu qui vous a marqué pendant votre enfance : couleurs, senteurs, proportions, situation, architecture …

Certains détails vous auront échappé et d’autres seront encore très précis dans votre mémoire parce qu’ils auront marqué particulièrement votre enfance. C’est sur ceux-là qu’il faut insister.

Les personnes n’auront que peu d’importance puisque l’intérêt du sujet est la description du lieu. Elles pourront à la limite n’être que des éléments du décor.

Tout doit être décrit à  » dimension d’enfant « . Donc, respecter les proportions parfois très différentes, comme  » les tournesols  » qui paraissent immenses à George Sand enfant dans le texte.

La description du lieu doit être associée à l’évocation d’un sentiment de bonheur, de « paradis perdu ».

2) Vous devez ensuite expliquer pourquoi, aujourd’hui, ce souvenir vous rend nostalgique.


Par exemple, la description du lieu vous procure de la joie car vous pensez à des moments de bonheur que vous avez peut être partagés avec des personnes aimées que vous ne voyez plus.

Vous avez l’idée d’un temps d’innocence et de pureté.

Vous en éprouvez de la nostalgie.

Conclusion :Vous pouvez finir votre devoir sur une réflexion à propos de la fuite du temps, de la nostalgie, du regret que vos avez du temps de votre enfance, etc.

Djahid a écrit …

Je me souviens que j’avais entre 3 et 8 ans, lorsque nous allions avec mes parents en vacances à Saint-Raphaël, qui est situé dans le sud de la France.

Cet endroit, dans mes souvenirs, est comme un paradis : il y avait la mer, la plage, le soleil. Je ressens encore le sable chaud sous mes pieds ainsi que l’odeur de la lavande .

Nous louions un appartement qui était assez petit , mais qui me paraissait être un château . Il se situait en hauteur dans la montagne. Quand j’allais sur la terrasse les couleurs de cette vue m’éblouissaient : le vert des arbres et de la montagne, l’ocre du bâtiment , le bleu du ciel et de la mer mais surtout le rouge des roches de l’Estérel.

Le soir , il faisait chaud, j’attendais impatiemment d’aller à la salle de jeux où il y avait des jeux d’arcade . Dans mes souvenirs , les machines étaient gigantesques, la musique très forte et les bruits des machines me donnait l’impression de rêver.

Aujourd’hui , cet endroit n’existe plus c’est pour cela que se souvenir me rend nostalgique . Je regrette de ne pas avoir passé plus de temps là-bas avant que le lieu soit détruit, de ne pas pouvoir y retourner et me rappeler les sensations de mon enfance.

Myriem a écrit …

Lorsque j’avais entre six et neuf ans, pendant les vacances d’été, ma famille et moi, avons pris l’avion en direction d’une destination que je ne connaissais pas auparavant: Punta Cana, une ville située en République Dominicaine.

Le voyage me paraissait atrocement long, et j’ai toujours eu une peur extrême de l’avion; mais lors de mon arrivée j’ai remarqué la beauté fulgurante de cette île: les palmiers immenses d’un vert intense, le bleu du ciel et le soleil qui réchauffait mon visage. Je ressens encore l’humidité et la chaleur de l’endroit qui me procure énormément de bonheur.

Nous étions placés dans un hôtel énorme avec d’innombrables pièces, qui dans mes souvenirs me paraissait être un palace. Cet hôtel était situé au bord de la mer et j’ai encore ce sentiment de bien-être lorsque je vous fais part de mes souvenirs. Il y avait toujours cette petite brise qui rafraichissait mon corps et qui faisait voltiger mes cheveux ; et cette odeur de mer que je détestais tant et que j’adore aujourd’hui.

Un beau jour, nous sommes allés sur la plage, plus précisément sur un ponton très étendu. Nous étions à cet endroit pour vivre un moment inoubliable: nous avons nagé avec les dauphins !

C’était tout simplement incroyable d’avoir pu les voir d’aussi près et de danser avec eux, mais je regrette de ne pas avoir plus profité de cet instant car j’étais terrorisée à l’idée de m’approcher d’eux.

C’était inimaginable à mes yeux; il y avait cette fraicheur de l’eau et ces dauphins en face de moi qui avaient un aspect effrayant et adorable en même temps. Leurs peaux étaient aussi lisses que de la soie et leurs sifflements aussi assourdissants qu’une alarme. J’avais l’impression de rêver.

Maintenant, ces souvenirs me rendent nostalgiques car je regrette de ne pas avoir été plus à l’aise et d’avoir concentré ces moments sur la peur, j’aurais aimé plus profiter de ces instants. Je sais que je ne pourrais plus y retourner et cela m’attriste de me dire que je ne pourrai plus ressentir ces sensations qui ont marqué mon enfance.

Soha a écrit …

Je me souviens, alors que je n’avais qu’entre cinq et sept ans, pendant les vacances d’été, ma
famille et moi avons pris l’avion un matin. Je ne me rappelle pas de tous les détails, mais c’est un des plus beaux voyages que j’ai pu faire dans mon enfance.

Nous avons pris l’avion et nous sommes allés en direction de l’Afrique plus précisément au Cap Vert. Je me rappelle que mes parents avaient pris des jouets pour nous distraire mon frère et moi car le voyage était vraiment très long.

Lorsque nous sommes arrivés sur une des îles du Cap Vert, je crois qu’elle se nommait Santiago. Je fus marquée par la beauté et par toutes les odeurs que dégageait le paysage. Puis nous sommes allés dans une voiture pour rejoindre une grande maison, qui je crois appartenait à mon grand-père.

Quand nous sommes arrivés devant cette immense maison je contemplais avec attention la splendeur des bâtiments. Ils étaient de toutes les couleurs : il y en avait des jaunes, des bleus, des verts…

Le lendemain, nous sommes allés à la plage, quand nous sommes arrivés. J’étais assez perturbée par la couleur du sable : il était noir, un noir très vif et pur. Je n’avais jamais vu une telle chose, je pense que c’est une des choses qui m’a le plus marqué dans ce voyage. Au début j’étais assez hésitante car je ne comprenais pas pourquoi le sable était de cette couleur, mais si je me souviens bien, je n’ai pas pu résister à la tentation de marcher et toucher ce sable qui était une découverte pour moi.

Nous avons attendu avec impatience le coucher du soleil, il était vraiment magnifique. C’est le plus beau coucher du soleil de toute ma vie, il y avait un contraste de rose et violet ainsi que du jaune et du bleu et je ressens encore la joie que j’ai pu éprouver en regardant ce coucher du soleil.

Quand j’ai vu mon grand-père aller se baigner dans la mer, je crois que je l’ai suivi, et quand je suis arrivée au bord de l’eau il y avait tout plein de petits poissons de différentes couleurs. J’ai mis mes petits pieds dans l’eau et les poissons me chatouillaient en me frôlant : cela m’a fait beaucoup rigoler et j’ai aussi pu apercevoir trois petites tortues très mignonnes.

Tous ses souvenirs me rendent nostalgiques et m’attristent car j’ai passé de merveilleux moment dans cette maison et aux abords de cette plage. Et je ne peux y retourner à cause des circonstances actuelles je ne pourrai peut-être jamais réapprécier les petits bonheurs du Cap-Vert. Les bonheurs qui ont marqué mon enfance, ceux qui remontent à il y a environ 6 ans.
 

Océane Q. a écrit …

Je vais vous raconter mon souvenir inoubliable de lorsque j’étais petite. Je devais avoir entre cinq et sept ans. Je me souviens que j’étais partie en vacances aux Sables d’Olonne qui est située à l’ouest de la France, sur l’océan atlantique.

Dans mes souvenirs, ce bel endroit était inimaginable : la plage me paraissait très étendue, je ressens encore la chaleur du soleil me réchauffer mon petit corps, le sable brulant me transperçait mes petits petons et l’odeur de la mer me revient dans mon nez.

Nous avions un appartement qui était assez petit, mais qui me semblait gigantesque comme une forteresse. L’appartement projetait sur une vue incroyablement belle, on y voyait des palmiers sacrements hauts et la mer était si bleue, comme le ciel. On entendait les bruis des vagues qui faisaient un son doux et apaisant, cela me donnait l’impression de rêver. 

Dans la ville, il y avait un homme qui avait gagné une grande somme d’argent au loto et avait construit une sorte de parc qui me semblait énorme, avec une multitude de jeux gonflables ainsi que des jeux d’eau. 

Chaque soir, en rentrant de la plage, on allait, ma sœur et moi jouer aux jeux gonflables et mes parents nous regardaient. Je m’apprêtais à faire un jeu dans l’eau qui consistait à être enfermée dans une bulle transparente. Il fallait être debout dans la bulle et marcher sur l’eau le plus vite possible. Cela avait l’air assez difficile et à la fois drôle car on pouvait tomber, faire des roulades… 

Sauf que j’avais eu peur, car je pensais que je pouvais tomber dans l’eau, être mouillée et être coincée dans la bulle transparente. Ma mère me rassurait mais j’avais vraiment peur donc je ne l’avais pas fait et je regrette vraiment car cela aurait pu faire un beau et drôle souvenir, mais la peur a été plus forte que mon envie. 

Cet endroit me rend nostalgique, car on y allait souvent avec mes parents et ma sœur, c’était de supers moments de détente et de rigolade avec ma sœur. Mais malheureusement les jeux gonflables et d’eau ont été enlevés et je regrette de n’avoir pas plus profité et surtout d’avoir eu peur. 
Je sais que je ne pourrai pas y retourner, et cela me rend triste de me dire que je ne pourrai plus ressentir ces sentiments qui ont marqué mon enfance.

Naomi a écrit …

C’était il y a 2 ans, j’avais 11 ans. J’étais en classe de CM2 à l’école « Le Notre ». Et pour finir cette merveilleuse année de CM2 en beauté, les maîtres et maîtresses nous avaient préparé un beau voyage au bord de la mer, une « classe de mer ». C’était un lundi, on avait tous préparé nos valises. Elèves comme professeurs étaient pressés. Pour voyager sans complications on avait pris un car scolaire. C’était le voyage le plus long et ennuyant de ma vie ( 6h). A la fin du voyage, j’étais excitée de savoir où on était car à ce moment là je ne savais toujours pas où notre voyage allait se passer et je l’ai su très rapidement. On était arrivé en Normandie à Honfleur. C’était et c’est toujours une ville magnifique et très touristique.

On a commencé par découvrir l’endroit où on allait passé la moitié de notre voyage (la maison). On était dans une grande maison avec trois étages. On était mélangés avec une autre classe de CM2. À chaque étage, il y avait deux animateurs qui étaient là pour nous surveiller et à chaque étage il y avait 7 chambres pour 4 ou 5 élèves maximum. Je pourrais toujours me rappeler d’une odeur de fruits rouges dans les chambres. On avait la vue sur la mer et le coucher de soleil. Après notre arrivée, on s’est tout de suite mis à l’aise. Pour les déjeuner et dîner, un chef était à notre disposition, il nous préparait des hamburgers, des pâtes à la bolognaise, des soupes, des pâtes au saumon… 

Dans mes souvenirs on se couchait et se réveillait à une heure précise. Le matin on prenait un petit déjeuner équilibré pour bien attaquer la journée. Le premier jour on s’était présentés tous pour ne pas se perdre, on s’était promené dans la ville. Je me souviens qu’on avait découvert les anciennes maisons appelées chaumières qui avaient des planches en bois sur les murs. Je ressens toujours la douceur et la délicatesse de la pluie qui tombait sur mon visage. Le deuxième jour, j’ai découvert la douceur du sable et de l’eau à la plage, c’etait une journée rayonnante : le moment où on a appris à faire du cerf volant et du char à voile était merveilleux . Ce sont des activités qui m’ont beaucoup amusé et qui m’ont beaucoup appris des choses. 

Pendant les fins d’après-midi, un monsieur venait nous apprendre la beauté de la mer, les crustacés qui vivaient sous nos pieds et l’importance de ces créatures. Le reste de la semaine, nous avons appris à mieux être respectueux et sage envers la nature. Le samedi qui suivait, nous sommes partis au musée du débarquement pour apprendre la vie de la Normandie, la guerre, les débarquements… Et le dernier jour était un jours de fête, on a préparé une boum pour finir ce voyage en beauté.

Le jour du départ était nostalgique car j’avais peur de ne plus avoir un bon souvenirs de se voyage et de ne plus ressentir la joie et la beauté de cette ville.

Anaïs O. a écrit …

C’est un mois de juillet que lors de mes 6 ou 7 ans , je suis partie au Sri Lanka (une île près de l’Inde), pour le mariage de mon oncle et de sa femme. C’était mon tout premier voyage alors vous vous doutez qu’il m’a fortement marqué.

C’est vraiment une île sublime et paradisiaque. Je me rappelle avoir logé dans une grande maison blanche digne des plus belles villas, nous avions même un cuisinier qui nous faisait des plats originaires de cette île je me souviens qu’à l’époque je ne parlais pas bien anglais et que lorsque je voulais lui demander quelque chose je le mimais (je vous laisse imaginer mon cousin et moi essayant de mimer une personne mangeant une pastèque !). Il suffisait d’ouvrir une simple porte pour accéder à une immense plage dont la mer semblait s’étendre à perte de vue. Un jour nous y sommes allés c’est même là où j’ai appris à nager sans bouée, c’est là où j’ai réellement aimé nager.
Un jour nous avons même vu une tortue elle me semblait énorme je crois bien qu’elle faisait même le triple de ma taille (enfin c’est comme cela que je la voyais à l’époque). Bien que toutes mes péripéties m’aient marquée ce qui m’a le plus marquée c’était le mariage, mon oncle et sa femme se sont mariés au bord de la plage face au couché de soleil, ses rayons rendaient légèrement orange l’eau je ne saurais vous décrire la scène tellement elle était magique.

Lorsque j’y repense cela me rend nostalgique. Il m’évoque tant de joie que rien que le fait de m’en souvenir me plonge dans une totale euphorie. Que j’aimerais y retourner !

Alexis a écrit …

C’était au mois de janvier quand j’avais 3 ans lorsque nous sommes allées à Superdévoluy à la montagne.

De ce jour là me reviennent des souvenirs forts qui m’ont marqué. C’était en effet la première fois que je voyais la neige. Le paysage était blanc. C’était merveilleux, c’était magnifique. Le lendemain nous avons joué dehors à la neige et j’ai même fait du ski pour la première fois. Je mangeais la neige c’était magnifique pour moi. J’ai fait une bataille de boule de neige avec mes parents.

C’était magique car c’était la première fois que j’allais à la montagne qui me paraissait immense et j’étais tout petit.

Depuis je suis retourné à la montagne en hiver faire du ski mais dans d’autres endroits et en étant plus grand mais je ne ressentais pas la même chose que la première fois.

Aujourd’hui les choses sont différentes car je suis plus grand et plus autonome. A cette époque j’aimais bien car on s’amusait à l’école en faisant des jeux et que j’avais pas de devoirs à faire chez moi.

Oumar a écrit …

Dès mes 2 ou 3 ans, je me rappelle être allé au Mali mais je ne sais pas pourquoi. Il faisait très chaud, je me sentait comme dans un four chauffé à 200 degrés.

Je me rappelle qu’on était à un endroit avec beaucoup de personnes qui nous attendaient et qui félicitaient mes parents. Cet endroit était très grand, il y avait beaucoup de fleurs et tout le monde chantait et dansait.
Le soir même, il y avait beaucoup de bruit. Je me souviens que ma mère était en train de s’amuser avec ses amis et mon père était en train de parler et rigoler dehors avec ses frères et amis. Je ne voulais pas aller avec mon père parce que je sentais une odeur que je détestait, l’odeur du tabac, du coup j’étais avec ma mère.

Quand je suis allé avec elle, il y avait beaucoup de flash je ne pouvais rien entendre. La salle me semblait rétrécir tellement il y avait de personnes et quand on était petit comme moi, cela me faisait très peur du coup je suis allé me coucher dans une chambre plutôt agréable et où ça sentait la rose.

Le lendemain, je me sentis pas très bien comme si ma tête allait tomber par terre. J’étais malade mais ma mère ne voulait pas que je rate un moment très important pour elle et pour ma famille. On était allés dehors et on a pris des voitures et des motos, je me rappelle que je voulais monter sur une moto mais mon père me l’a interdit.

Quand je suis ressorti de la voiture, on était allé dans un endroit sombre avec beaucoup de lumière et tout le monde applaudissait mes parents, je n’étais pas avec eux j’étais avec ma sœur, mon cousin, et ma tante qui nous gardait. Je ne me rappelle pas très bien.